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Histoire et origine de la famille Langevin

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Pionniers de la famille Langevin

Mathurin Langevin dit Lacroix est baptisé le 30 octobre 1632 à St-Vincent de Le Lude, en Anjou. Fils de Mathurin Langevin et de Marguerite Mahay, il épouse Marie Renaud, fille de Mathieu Renaud et Marie Comtois, le 5 octobre 1654 à Québec. Veuf, il épouse en secondes noces, Marie-Thérèse Martin, fille d'Antoine Martin et de Denise Sevestre, le 9 octobre 1674 à Québec. De leur union 7 enfants naissent. Il arrive à Montréal le 16 novembre 1653. En 1667, il possède 8 bêtes à cornes et 4 arpents de terre en culture. En 1681, il possède 1 fusil, 6 bêtes à cornes, et 35 arpents de terre en culture. Il décède avant le 30 octobre 1722.

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Origine du nom de famille Langevin

LANGEVIN - surnom donné à la personne originaire de l'ancienne province de l'Anjou en France.

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par Jerry LONGUEAY dit Bergevin, 21 janvier 1996 , trad. Libre par Claude LANGEVIN dit Bergevin, 21 janvier 1997 On peut vraiment parler de l'histoire fabuleuse d'une famille, puisque, à l'origine de tous les Bergevin d'Amérique, se trouve un seul homme qui, ayant perdu son père à l'âge de deux ans, quitta la France au début de la trentaine pour s'établir en Nouvelle-France. Cet homme, Jean BREGEVIN, est devenu depuis l'ancêtre de plus de 300,000 descendants, et sa famille s'accroît encore d'environ dix nouveaux descendants chaque jour. Cette histoire, racontée dans son livre, Généalogie Bergevin dit Langevin, vol. 1, par le Père Jean-Louis Bergevin, o.m.i., nous apprend que le nom BREGEVIN pourrait originer d'un petit hameau, appelé Bergheim, dans la province du Haut-Rhin, district de Celmar, comté d'Alsace, non loin de Strasbourg, près de la frontière franco-allemande. Donc, en France, plus précisément en Alsace, et probablement à Bergheim, vers 1590, naît François Bregevin. Il épousera Jehanne Gybet et ils auront deux enfants, Catherine (1600 - ?) et Mathurin (1609 - 15-11-1637). Mathurin épouse Marie Tesnier (1614 - ?) à l'été 1634, en l'église de Saint-Jacques-lès-Angers. L'acte de mariage y est conservé et on peut y lire la signature de l'officiant, M. Angot, et celles des témoins: Thomas Chastelain, prêtre, et Pierre et Thomas Granger, probablement deux frères, amis de l'époux. L'acte de mariage, malheureusement non-daté, est inscrit dans le registre entre deux autres actes, l'un du 7 avril et l'autre du 3 juillet de la même année. Mathurin et Marie ont deux enfants, Marie et Jean. Par malheur, Mathurin et sa fille Marie meurent le même jour, en novembre 1637, alors que Jean n'a que deux ans. Sa mère se re-marie six mois plus tard à Mathurin Charbonnier, mais Jean garde le nom de Bergevin. Heureusement pour nous, sinon nous nous appellerions tous Charbonnier! Jean (11-3-1635 - 2-2-1703) était donc né Bregevin à Angers, ou tout près, mais, dès son arrivée en Nouvelle-France à l'été 1665, ce nom s'est transformé en Bergevin (soit par erreur de transcription, soit par mauvaise prononciation). Quoi qu'il en soit, c'est bien ce Jean qui est l'ancêtre commun de tous les Bergevin d'Amérique, de plusieurs Langevin et Longeway, et de tous les Longeuay du Canada, tout au moins. En fait, le nom et la lignée Bergevin sont uniques au pays, mais on trouve encore en France des Bregevin et des Brechevin. Il est possible que les armoiries des Bergevin soient celles que l'on trouve dans les boutiques spécialisées de généalogie et d'héraldique. En voici la description "classique": "De gueules au chevron d'or accompagné en chef de deux grappes de raisins d'argent, et en pointe d'un croissant d'or; au cimier, une fleur de lis d'or." Vues d'un œil moins "classique" ces armoiries semblent représenter une figue réjouie. On prétend même que ce sont des armoiries de marchands de vins (levons nos verres, cousins!). Avant 1663, la plupart des femmes émigrant en Nouvelle-France y venaient avec leurs maris; il y avait peu de femmes célibataires. En 1663, le roi Louis XIV fit recruter des femmes non-mariées pour favoriser le peuplement de la jeune colonie. Une fois choisie, l'élue recevait un cadeau royal: le passage sur le bateau, vêtements et bagages de base, garantie d'une dot de 50 livres si elle épousait un soldat ou un habitant, et de 100 livres si elle épousait un officier. De près de 1000 d'entre elles qui firent le voyage, environ 770 sont arrivée à bon port entre 1663 et 1673. Après quelque temps, logées et nourries par le Roi, elles signèrent des contrats avec des hommes célibataires déjà sur place, et les mariages étaient célébrés quelques jours ou semaines plus tard. Ces contrats portaient une note les identifiant comme "Filles du Roi", pour que la dot prévue leur soit versée. Marie Piton (Pitault - Pitau) était de celles-là. Savait-elle ce qui l'attendait? Jean Bregevin, puis Bergevin, était arrivé, quant à lui, le 17-08-1665, comme soldat faisant partie de la Compagnie de Grandfontaine du régiment de Carignan-Salières. Près de 1200 soldats de ce régiment, l'un des 65 régiments de l'armée régulière du Roi en 1660, sont arrivés à Québec de juin à septembre 1665. Ils ont, pour la plupart, été postés dans les différents forts de la vallée du Richelieu, pour combattre les Iroquois. Une fois leur service militaire terminé, ils avaient le choix, soldats et officiers, de retourner en France ou de s'installer au pays. Jean Bergevin s'installa à Québec puis à Bourg-Royal, rattaché au village de Saint-Michel de Beauport (à peu de distance au nord-est de la ville de Québec). Et, le 26-11-1668, en l'église Notre-Dame-des-Victoires de Québec, Jean et Marie unissaient leur destinée. Jean avait 33 ans et Marie 18. Ses parents, Rémi Pitau et Marie Poilen, vivaient à Saint-Paul, paroisse de la ville de Paris, en Île-de-France. Leur premier enfant meurt avant d'avoir atteint trois ans. Leur deuxième, Joseph, né en 1673, ne semble pas s'être marié, du moins aucun document le concernant après sa naissance n'est disponible, à ce jour, sauf un, rapportant son décès en 1735. On ne sait rien, non plus, du troisième, Jacques, né en 1675. On le dit mort-né. Leur première fille, quatrième enfant, Ambroise, se marie à l'âge de 18 ans, au soldat Guillaume Falardeau, et lui donne trois filles et six garçons. Une autre fille, Marie, épouse Siméon Morin, et ce couple produira une nombreuse descendance qui est retrouvée un peu partout en Amerique du Nord. Les sixième, huitième et dixième enfants, trois garçons, ont épousé trois des filles d'un voisin, Mathieu Texier dit Laplante, et eurent au total 17 garçons et 16 filles. Les septième et neuvième enfants sont tous deux mort-nés. Quant au 11e et dernier, Jean II, comme on le verra plus loin, il prit femme trois fois, de 1702 à 1712, la mort frappant sans discrimination, dans toutes les familles, surtout au moment de l'accouchement ou peu après, des suites des fièvres puerpérales, très fréquentes (et méconnues) à cette époque. Il eut, au total, 13 filles et 1 garçon. Installés à Bourg-Royal peu après leur mariage à Québec, sur une terre qui avait été octroyée à l'ex-soldat, Jean et Marie ont élevé une famille à la taille de l'époque: huit garçons et quatre filles, dont quatre garçons et une fille qui eurent des enfants à leur tour, de sorte qu'en deux générations il y avait 19 garçons et 26 filles portant le nom Bergevin. Les générations suivantes produiront plus ou moins d'enfants par famille et il y eut plusieurs décès en bas âge. De même, beaucoup d'enfants de 16 ans avaient déjà qui une belle-mère, qui un beau-père. LES JEUX DE NOMS Notre ancêtre commun, à son arrivée en Nouvelle-France, s'appelait et se disait Bregevin. Mais, comme il ne savait pas écrire, ce sont les scribes de l'époque, prêtres, notaires, etc., qui nous ont transmis des variations patronymiques comme Brugevin, Burgevin, Brechevin, Bregevin, Bergevin et même Berianin. Chez les militaires, la chose était courante, tous et chacun avaient un surnom qui faisait référence à n'importe quoi: lieu, métier, fleur, tic, taille, etc. C'est ainsi que bien des soldats originaires d'Anjou se faisaient appeler L'ANGEVIN (les Angevins sont originaires d'Anjou). D'où les BERGEVIN dit LANGEVIN que l'on trouve au 17e siècle. Quand les "dit" ont pour la plupart disparu, au début du 18e siècle, c'est ou bien Bergevin, Bergevine ou bien Langevin qui a été choisi par les descendants. Ce qui fait qu'il y a plusieurs familles Langevin, mais une seule lignée Bergevin dit Langevin, qui a donné, comme on l'a vu, les Longeway puis les Longeuay. Mais il y a aussi d'autres familles Longeway, pour les mêmes raisons sans doute! Ce qui fait que l'auteur de ce texte, Jerry S. Longueay, peut se targuer de posséder quatre noms, voire cinq: Bregevin, Bergevine, Bergevin dit Langevin, Langevin, Longeway et Longueay. Et ce même jeu de noms se retrouve dans toutes les lignées. Ainsi, les trois frères Bergevin qui ont marié les trois soeurs Tessier: leurs beaux-parents sont des Texier dit Laplante. De même, Marie Piton s'appelait aussi Pitau et Pitault, selon les documents. La règle d'or en ces cas est de considérer le nom actuellement utilisé et de remonter dans la lignée ascendante pour y découvrir les variations patronymiques et les signaler dans nos tableaux, grilles ou rapports généalogiques. Par exemple, des onze enfants de Louis, fils de Jean et de Marie, les quatre premiers furent baptisés Bergevin dit Langevin, mais ils se marièrent ou moururent Longeway. Pour plus de clarté, la banque de données doit pouvoir identifier cette variation patronymique des enfants jusqu'à leur père commun, Louis.

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Dernière mise à jour: 2024-11-26

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