Noms de famille similaires: Camirand
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Pierre Camiré-Comiré est né le 21 septembre 1728 à St-Pierre, Percey-le-Grand, Haute-Saone, en France. Fils de Nicolas Comirey et Julienne Pernin, il épouse Marie-Françoise Blanchard, fille d’Alexandre et Marie-Angélique Charon-Laferriere, le 3 février 1755 à Ste-Marie-de-Beauce. De cette union naissent 9 enfants. Arrivé au pays en compagnie de sa mère en 1736, ce migrant s’installe à Ste-Marie-de-Beauce, où il décède le 27 février 1821.
Soumis par MesAieux.com
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CAMIRÉ-COMIRÉ – Nom d’origine indéterminée, possiblement un dérivé du nom germanique Kammeyer, qui servait à désigner un fermier installé sur la crête d’une montagne.
Soumis par MesAieux.com
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Né vers 1788, François Camyré est le fils de François Camyré et de Marguerite Thimothée. Aubergiste de Saint-Constant et patriote engagé, Camyré participe à la première insurrection de 1837 avant de se réfugier aux États-Unis. De retour au Bas-Canada, il est présent le 3 novembre 1838 au camp de Napierville, centre organisationnel patriote. Deux jours plus tard, sa maison est incendiée par des volontaires loyalistes. Le 9 novembre, il prend part à la bataille d'Odelltown (Lacolle). Le 14 novembre 1838, Camyré est arrêté et accusé de haute trahison. Il subit son procès en cour martiale à la fin du mois de janvier 1839 et est condamné à mort le 6 février. Recommandé à la clémence quelque temps plus tard, il est libéré sous caution en compagnie de vingt-six autres patriotes. Il est décédé le 29 avril 1875. Il est inhumé à Montréal, au cimetière de Notre-Dame-des-Neiges. Il avait épousé à Saint-Constant, en 1828, Angélique Gervais; puis à Châteauguay, en 1833, Clémence-Olive Cardinal. Notices bibliographiques : LAPORTE, Gilles. Les Patriotes de 1837@1838 : les rébellions du Bas-Canada [En Ligne]. http://cgi2.cvm.qc.ca/glaporte/1837.pl?out=menu MESSIER, Alain. Dictionnaire encyclopédique et historique des patriotes 1837-1838. Montréal, Guérin, 2002. 497 p.
Soumis par En hommage à Gene Boy I.
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