EN MÉMOIRE DE FRANCINE BERNIER À la douce mémoire de Francine, décédée le 12 décembre 1998. Nous nous demandons pourquoi tu nous as été ravie, mais dans nos coeurs nous savons que tes souffrances ont enfin cessé et que tu es en paix. Nous nous souvenons de tes souffrances et nous pleurons. Mais nous nous souvenons aussi de ton sourire, ta douceur, tes gestes et de tous les moments heureux. Nous savons que ces moments ne s'effaceront jamais et c'est une consolation. Ton époux, tes enfants et petits-enfants. Parution: 2008-12-12 au 2008-12-12 dans Le Droit - 1653145