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Histoire et origine de la famille Dagenais

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Pionniers de la famille Dagenais

Pierre Dagenais a été baptisé le 17 septembre 1634 à La Rochelle, Charente-Maritime, France. Fils d’Arnaud Dagenais et d’Andrée Poulet, il épouse une fille du roi, Anne Brandon, fille de Daniel et de Jeanne Proli, le 17 novembre 1665 à Montréal. De ce mariage naissent 6 enfants. Ce tailleur arrive au pays en 1657 et s’établit à Montréal. En 1681, on le retrouve à Rivière-des-Prairies où il possède 3 bêtes à cornes et 9 arpents de terre. Le 9 août1689, il est tué, en compagnie de sa femme, par les Iroquois.

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Pierre dit Dagenais est né vers 1738 d'origine et filiation inconnue, il épouse Marie-Élisabeth Berthiaume, fille de Pierre Berthiaume et de Marie Pépin, le 10 novembre 1760 à Montréal. De cette union naissent 13 enfants. On ne sait vraiment peu de chose de ce pionnier qui s'établit Montréal. Il décède le neuf septembre 1813 et inhumé le surlendemain à (St-Laurent) Montréal.

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Origine du nom de famille Dagenais

DAGENAIS - agglutination de ' d'Agenais ', surnom donné à une personne originaire de cette région autour d'Agen, en Lot-et-Garonne.

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Un bon point de départ dans la généalogie Dagenais est le nom lui-même, qui est enraciné à Agenais, une ancienne province de France sous l'ancien régime. Situé dans la partie sud-ouest du pays, la région a une longue et riche histoire qui remonte à ses origines comme gaulois et romains "Aginnum Civitas Agennensium". « Dans l'ancienne Gaule, la région était le pays des Nitiobroges avec leur capital Aginnum, qui, au quatrième siècle a été Agennensium Civitas, qui faisait partie de Aquitania Secunda, ce qui a formé le diocèse d'Agenais. Ayant en général partagé le sort de l'Aquitaine durant les périodes mérovingiennes et carolingiennes, Agenais devint ensuite un comté héréditaire dans la partie du pays maintenant appelé Gascogne (Pays Basque). Elle a été disputée par divers royaumes et les entités politiques pour une grande partie de son histoire, cela remonte à près de 2000 ans. La région constitue aujourd'hui pratiquement tout le département français de Lot-en-Garonne. » Le préfixe français (d '​​ dans sa forme abrégée devant une voyelle) signifie «à partir de», et donc la construction d'Agenais indique quelque chose ou quelqu'un provenant d'Agenais. Comme c'est le cas à l'origine des nombreux noms de famille français, les habitants retirés d'une région ou vivants ailleurs auraient été désignés par leur prénom, le préfixe de, et le nom de la région qu'ils avaient quitté. Au fil du temps, beaucoup de ces constructions a été officialisé comme nom de famille. Le siège administratif de l'Agenais dans les temps anciens était la ville d'Agen, tel qu'il demeure aujourd'hui. Les résidents de la ville sont aussi appelés Agenais ou Agenois, et la même utilisation du préfixe a probablement été utilisé pour désigner une personne qui venait de cette ville. Certains souligneront aussi que l'utilisation de la majuscule « De ou D » en français peut également indiquer la noblesse, et il y avait en effet un Compte d'Agenais (comte de Agenais) pendant plusieurs siècles jusqu'à la Révolution française en 1789. Néanmoins, il est beaucoup plus logique de supposer que la majuscule D pour le patronyme Dagenais est née de l'orthographe simplifiée au fil du temps. Quelques-uns des premières orthographes enregistrées de la famille est en fait l'utilisation du d minuscule. Le nom Dagenais, donc, signifie simplement «de la province de ou d'Agenais» ou encore «parmi les gens d'Agen». Au cours des quatre derniers siècles, le nom a été enregistré comme Dagenais, Dagenez, d'Agenez, Dagenay, d'Agenais, Dageney, Dagenest, Dagenet et Dagenets, qui sont identiques à la prononciation. Des explications sur les diverses orthographes comprennent une mauvaise transcription, l'analphabétisme généralisée et les préférences personnelles. Vu que la majorité des premiers immigrants vivaient dans un environnement hostile, plusieurs générations de nos premiers arrivants n'avaient aucune éducation formelle et donc ne savaient tout simplement ni lire ni écrire. ________________________________________________________________ L'Association des familles Dagenais d'Amérique désire favoriser le regroupement de tous les descendants des ancêtres de Pierre Dagenais venu en Nouvelle-France dans l'espoir de retrouver des gens au patronyme similaire. Cela comprend, sans nul doute la lignée des familles Bélanger, Caron, Dusablon (dit Lévêsque) et Therrien. Pour obtenir d'avantage d'informations sur chacun d'eux, pointez ci-dessous celui ou ceux qui vous intéressent. 1. Pierre Dagenais (dit Lépine ou Le Prince) et Anne Brandon - Texte PDF (lignée Brandon/Dagenais) 2. Pierre Lévêsque et Marie Croizet (lignée des Dusablon) 3. François Bellenger (lignée des Bélanger) 4. Robert Caron et Marie Crevet (lignée des Caron) 5. André Terrien et Magdeleine Desvignes (lignée des Therrien) Pierre Dagenais, fils de Arnaud (ou Renaud, cela reste encore à vérifier) et de Andrée Poulet, est originaire de Saint-Sauveur de La Rochelle, dans le département de la Charente-Maritime, en région Poitou-Charente. Quoi qu'il en soit, et pour des raisons que nous verrons plus loin, Pierre est baptisé à la chapelle de Sainte-Marguerite de La Rochelle le dimanche 17 septembre 1634. Les registres des naissances n'existaient pas à l'époque, sauf pour les baptêmes, qui sont toujours conservés à la petite chapelle de Sainte-Marguerite. Le parrain est Pierre Couvarge, Sieur de la Tour et Sergeant royal. La marraine présente à la cérémonie est Françoise Rabar. Selon un document PDF publié par Frederick Dashner, un descendants américains lointain de la lignée Dagenais/Brandon, Pierre a un frère ainé, Simon âgé de deux ans. Les deux frères passeront leur enfance et une partie de leur adolescence dans les rues de La Rochelle et le long du quai Maubec, près du canal Marans. Ils ont grandi en regardant les navires quitter le port à destination des Antilles, chargés de vin et de céréales, et ceux qui reviennent de la Nouvelle-France décharger le poisson et les fourrures salées. Les registres démontrent aussi que Pierre était déjà marié et ce, dès l'âge de 15 ans, bien que ledit mariage, enregistré dans les registres catholiques de la ville, n'ait pas été découvert. Marie est sa première épouse lorsqu'il quitte son pays natal vers 1650. Il sait qu'il ne peut plus faire marche arrière et l'idée de rencontrer des Sauvages le fascine depuis longtemps déjà, entendu maintes fois lors de conversations entre marins partis de Ville-Marie, des années plus tôt. Le jeune couple arrivera dans la nouvelle colonie, peuplée à peine de quelques 50 colons, huit ans après sa fondation en 1642 par Paul de Maisonneuve. Durant cette période, les attaques des Iroquois, aussi appelés les Cinq-Nations, sont fréquentes et meurtrières. Ces guerriers féroces et avides de sang sont sur le sentier de la guerre depuis trop longtemps. Le déploiement des Français vers l'Ouest au cours des années 1670 et 1680 empêche la confédération des Iroquois d'avoir accès à de nouvelles sources de castors et menace la traite des fourrures de New York. À cette époque, la France et l'Angleterre sont en paix, c'est pourquoi les autorités de New York choisissent de pousser les Iroquois, dont les relations avec la France sont déjà tendues, sur le sentier de la guerre. Pierre n'a donc le choix que de s'occuper l'esprit en travaillant seul sur la terre qu'il avait loué de son voisin, Laurent Archambault, pour une période de trois ans qu'il défricha sur deux arpents pendant les deux années suivantes. Le 23 novembre 1662, il signe un autre contrat pour rembourser un autre huit arpents pour les Associés avec un employé de 36 mois du voisin Charles Testard. Un an plus tard, le 29 Octobre 1663, Pierre sous-loue l'année restante de son bail sur le terrain Archambault à Olivier Charbonneau, avec qui il a une forte relation d'affaire et d'amitié depuis de nombreuses années. Charbonneau accepte de travailler les parties défrichées de la terre en échange de 12 minots (boisseaux) de blé. Pierre attestera les documents d'état civil avec une signature fleurie qui indique qu'il peut bien écrire. C'est le 18 juin 1665 qu'une Fille du Roy répondant au nom d'Anne Brandon débarque avec 90 autres jeunes femmes et 30 engagés, tous partis de Dieppe quelques mois plus tôt à bord du Saint-Jean-Baptiste, un navire de 300 tonneaux. Son capitaine est François Fillye et le navire appartient à Hubert de la Chenaye, un armateur de la Compagnie des Indes, à Rouen. Pour la première fois de son existence, Anne foulait le sol de Québec. Née le 28 août 1634 et baptisée le 2 septembre dans la paroisse de Saint-Laurent, à Sedan (le département des Ardennes) en Champagne, Anne unie sa destinée à Pierre Dagenais le 17 novembre 1665 à la chapelle Notre-Dame, à Ville-Marie (Montréal) sous les bons offices du curé Gabriel Souart. La cérémonie est attestée par plusieurs résidents de longue date. Comme c'était la tradition (pour les mariages) en France et en Nouvelle-France à cette époque lointaine, la cérémonie est généralement précédée par la signature d'un contrat de mariage officiel, selon la coutume de Paris. Ces contrats sont généralement stéréotypées, stipulant que le couple se mariera devant un prêtre dans quelques jours et appelant les détails financiers de ce que chaque partie apporterait à cet union. À une époque où très tôt la mort et le remariage étaient monnaies courantes, les droits de succession de l'auteur survivant et des questions relatives à l'immobilier et biens mobiliers, étaient normalement inclus. À suivre...

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Personnalités célèbres de la famille Dagenais

Pour démontrer la vitalité de la famille Dagenais en Amérique du Nord, l'Association des familles Dagenais d'Amérique Inc. tient à présenter quelques Dagenais s'étant illustrés dans divers domaines. Benoît Dagenais (acteur québécois) Bernard Dagenais (garagiste de Fabreville) Camille A. Dagenais (ingénieur et ancien président de SNC-Lavalin) H. Dagenais (propriétaire Rona de Saint-Sauveur) Jean-François Dagenais (avocat) Jean-Guy Dagenais (sénateur) Jonathan Dagenais (chef d'orchestre, compositeur, arrangeur et clinicien) Lucien Dagenais (cultivateur, fondateur et premier maire de Fabreville, Laval - 1960 à 1965 - décédé le 21 juillet 1978 à 78 ans) Lucien Dagenais (décision de la Cour suprême du Canada) Luc-Martial Dagenais (acteur franco-ontarien) Magalie Dagenais (photographe) Marcel Dagenais (mathématicien et économiste) Marilyn Dagenais (Studio des Productions Marilyn Dagenais) Mélanie Dagenais (designer d'intérieur) Michèle Dagenais (professeure et historienne) Philippe Dagenais (propriétaire d'ameublement au détail) Pierre Dagenais (joueur de hockey québécois - statistiques) Richard Dagenais (auteur et chroniqueur) Bâtiments qui portent notre patronyme : - Aréna Dagenais (hommage à Lucien Dagenais qui a été le maire de Fabreville) - Chocolats Dagenais (chocolaterie située à Laval) - Primaire Dagenais (école primaire située à La Sarre, en Abitibi) Hommages et reconnaissances : Prix Marcel Dagenais (créé en 1981, ce prix s'appelait initialement Prix de la Société de science économique. Il a été attribué pour la première fois en 1982. En 2001, le nom du prix a été modifié pour Prix Marcel-Dagenais en reconnaissance de la contribution exceptionnelle du professeur Marcel Dagenais à la Société canadienne de science économique. Ce prix a pour but d'honorer un chercheur canadien ou d'une université canadienne qui, au cours des années récentes, a contribué de façon remarquable à la vie scientifique économique en français au Québec ou au Canada. Le dernier lauréat est Georges Dionne, professeur à HEC Montréal. Le jury était alors composé de Jean-Marie Dufour, Steven Ambler et Jean-Yves Duclos, président. Le prix, lequel est assorti d’une récompense de 6000 $, a été remis lors du congrès de mai 2012 de la Société. Le prochain Prix Marcel-Dagenais sera remis au congrès de mai 2015.)

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Dernière mise à jour: 2023-10-10

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