Avis de décès de Jean Claude Quirion

Jean-Claude Quirion 1938 - 2015 Jean-Claude Quirion La famille accueillera parents et amis au : 3254 BELLECHASSE, MONTREAL Le dimanche 25 janvier 2015 Une cérémonie commémorative aura lieu : Le dimanche 25 janvier 2015 à 21h Salut Grand-Papa Je ne serai trouver les mots pour te dire à quel point je t’aime. Il n’existe aucune phrase ni aucune façon d’expliquer toutes les émotions que j’éprouve à ton égard. Tu es plus qu’une simple personne, tu es à la fois un époux, un père de famille, un grand-papa, un protecteur et à ses heures j’irai jusqu’à dire un humoriste. Tu as toujours été là pour nous tous ta famille, peu importe ce qui arrivait. Aujourd’hui je vois encore cette personne extraordinaire qui ferait passe n’importe qui avant son propre bonheur. Aujourd’hui nous t’avons laissé t’en aller loin de nous et de ta maison pour ton bonheur, pour que tu cesses de souffrir et je sais que tu seras encore là-haut fort et aimant à nous protéger quoi qu’il arrive. Nous te promettons de rester unis tous ensemble la famille et que nous allons toujours nous soutenir. Nous sommes là pour continuer ton chemin et suivre tes traces. Nous allons continuer ce que tu nous à laisser de plus chère entre les mains c’est-à-dire l’amour et la famille. Rien ne pourra détruire cela. Nous t’aimons énormément, repose toi là-haut, tu mérites ce long sommeil avec une vie qui aura été remplie de joie et de belles surprises. De moments inoubliables qui resteront à jamais graver dans nos mémoires. (Audrey Quirion ) Si je devais choisir une fleur pour grand-papa, sachant qu’il ne les aime pas, je ne choisirais pas la rose, ce n’est pas une bonne fleur pour représenter l’être incroyable qui nous à laisser. J'ai donc, choisi le tournesol. La raison est simple, grand-papa était notre soleil commun à tous. Puis il l’est toujours. La journée qui a suivi son départ, son aller simple pour un repos éternel, il eut un soleil aveuglant, ce soleil qui nous réchauffa tous le cœur, cette lueur d’espoir qui a transpercé notre douleur, qui nous a donné un peu de force pour affronter cette épreuve. Une épreuve dans laquelle il nous faudra tous accepté qu’il ne soit plus présent de corps, mais que son âme, elle, lui survit. Son amour est toujours palpable, cet amour qui nous rassemble, cet amour qui est bien plus fort que la mort. Il ne voudrait pas de nous que nous pleurons aujourd’hui, il s’efforcerait toujours de nous faire rire, même dans la maladie et comme la dit Victor Hugo : « Faire rire, c’est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu’un distributeur d’oubli! » Il ne faut, évidemment pas oublier ce grand homme, ce modèle, ce courage qu’il incarnait, mais la douleur de sa perte, pour qu’il reste que les doux souvenirs qu’ils nous à léguer. (Kathy Lemus Quirion) Repose en paix grand-papa. « Il y a longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai » Tes deux petites filles